06/02/2009
La liberté du cinéaste
Je lis un entretien accordé au Monde par Mia Hansen-Love, réalisatrice du film Tout est pardonné (26 sept. 2007). A cette remarque du journaliste : « Votre film s’inscrit dans une veine très classique du cinéma », l'artiste répond : « Je n’ai pas voulu faire un film qui se revendique moderne, ou radical. On est tellement envahi de fausse radicalité, de fausse subversion … »
Question : pourquoi ce qui est possible et acceptable au cinéma ne le serait-il pas en peinture ?
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15:38 Publié dans Art / Non-art | Lien permanent | Commentaires (0)
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